Nathalie Queyrel
13 bis avenue de Bonaventure
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Les bienfaits de la thérapie familiale pour sortir de l’impasse

Nathalie Queyrel vous accueille pour des séances de thérapie familiale à Avignon, afin de vous aider à résoudre des conflits au sein de votre famille. Pour prendre rendez-vous au cabinet Evmenia, contactez votre psychothérapeute en ligne ou par téléphone.

De l’importance de l’enfance dans la construction psycho-affective 

« Ce que nous avons pensé, voulu, vécu, pendant notre prime enfance est là, penché sur notre présent » (Boris Cyrulnik).

La première image qu'un bébé se fait de lui-même s'élabore à travers le regard de ses parents. Nous naissons en étant observés. L'expression du visage de nos parents et notre reflet dans leurs yeux, déterminent la façon dont nous nous voyons. Plus tard, en naîtra notre propre estime de soi, qui permettra, ou non, l'installation, le développement de la si précieuse et si indispensable confiance en soi. L'enfance est en effet une expérience "réactive" : pour être capables d'empathie, nous devons l'avoir connue de la part de nos parents ou des personnes qui s'occupent de nous. S'il est vrai que l'on peut profondément abîmer un enfant quand l'amour inconditionnel ne lui est pas assuré, heureusement, il en faut peu pour "sauver" une enfance : une source de bonté, de compréhension et de valorisation, quelqu'un pour reconnaître la réalité et la valeur intrinsèque de l'enfant et protéger sa santé mentale, faire de lui, bien plus tard, un adulte équilibré et autonome, affectivement et psychiquement, capable de donner à son tour.

À mesure que l’éducation est devenue une responsabilité d’importance reconnue, et même une valeur prioritaire, la tâche des parents s’est complexifiée. À partir des années 50, et surtout 60, la place de l’enfant dans notre société est passée de « l’ombre à la lumière », de marginale, elle est devenue centrale. Les principes éducatifs se sont mis peu à peu en place de plus en plus tôt, ce qui a rendu les enfants autonomes beaucoup plus vite, leur maturation neuropsychologique est devenue plus rapide. Ainsi, nous observons qu’ils parlent plus tôt, construisent leur monde mental plus tôt et aussi, s’opposent plus tôt aux adultes. Quand un enfant répond « non » à une injonction parentale, c’est pour lui une victoire essentielle. N’oublions jamais qu’un enfant a besoin d’un autre, y compris dans l’opposition, pour devenir lui-même ; l’altérité est constitutive de notre construction humaine. De l’altérité naît bien sûr l’attachement, autre acteur majeur de notre développement. On sait maintenant que l’attachement commence dès la vie intra-utérine, durant laquelle se construisent les premières interactions entre le fœtus, sa mère et l’entourage. Il est maintenant prouvé scientifiquement, grâce à la neuro-imagerie, que l’attachement sculpte le cerveau, donne confiance à l’enfant, lui permet d’apprendre et d’explorer le monde. Sans lien affectif, pas de confiance en soi !

La carence affective atrophie les deux lobes cérébraux préfrontaux et altère les circuits de l’émotion et de la mémoire.

Freud disait : « l’enfant, c’est le père de l’homme ». Ce que l’homme a été pendant son enfance devient un socle, plus ou moins solide, ou friable, sur lequel va se construire notre maturité psycho-affective. Ceux qui ont eu un mauvais départ dans l’enfance pourront toujours le rattraper. On constate néanmoins qu’ils auront plus de difficultés à se montrer résilients, c’est-à-dire à affronter efficacement et à surmonter un grand accident de l’existence. Il faut donc offrir à nos enfants ce socle, par l’affection et l’éducation. Ce sont les deux maîtres-mots.

Or, contrairement à certaines dérives actuelles, nécessité est de rappeler que ce qui tisse le mieux les liens de l’attachement, c’est l’apaisement des angoisses de l’enfant et non pas la satisfaction de ses besoins ! En ce sens, l’interdit, l’opposition ont leur place nécessaire dans une éducation bien pensée. L’affection ne résout pas tout à elle toute seule ; il faut aussi poser des limites. Les enfants bien sécurisés affectivement le découvrent et l’intériorisent parfaitement dans le plaisir du vivre ensemble. Les études sont là pour prouver que les enfants qui accèdent à la satisfaction de tous leurs désirs, ces « enfants-rois » ou même « enfants-tyrans », de plus en plus nombreux, sont ceux qui ont le plus de mal à se socialiser et qui risquent de rencontrer de lourdes difficultés à l’âge adulte…

Développer la socialisation, c’est développer une niche sensorielle qui sécurise les enfants, tout en les éveillant. Cette niche doit être riche à la fois des parents, grands-parents, amis et professionnels de la petite enfance. Il est en effet nécessaire que l’enfant apprenne à défusionner de ses parents : à aimer quelqu’un d’autre que ses parents, pour s’épanouir parfaitement.

Enfin, n’oublions pas l’importance primordiale du jeu : c’est par le jeu que l’enfant commence à appréhender le réel. Jeux moteurs, jeux verbaux, qui vont peu à peu le placer sur la route de l’acquisition du langage et de l’accès au monde des représentations et de l’imaginaire. L’enfant rêve le monde avant de le comprendre.

Quand on a été blessé dans l’enfance, pour pouvoir se remettre à vivre, il est nécessaire de se forger d’abord une identité narrative, s’inventer la compagnie de merveilleux héros, à travers la fonction ludique et imaginative. Sans elle, l’enfant meurtri n’aurait aucun refuge pour échapper à la perte, au désespoir, à l’indicible… Il se donne un modèle identificatoire, se trouve un chemin de vie et trouve ainsi la force de croire au meilleur des possibles…

La thérapie familiale

Les cinq grands « liens d’attachement » dont nous avons besoin 

  1. La succion (allaitement, baiser, nourriture, toute satisfaction de l’espace buccal)
  2. L’étreinte (partage d’intimité, réassurance)
  3. Le cri (désir de parler, de communiquer) ; à noter que les maladies psychosomatiques sont la résurgence du cri archaïque qui traduisait les besoins, les souffrances de notre corps
  4. Le sourire (se construit dans la relation avec l’autre)
  5. Le rapprochement (aller vers l’autre) ; à noter que dans les blessures de l’abandon, il y a un doute, une faille, une suspicion qui empêche d’aller vers l’autre

Quand l’un de ces cinq liens ne s’est pas installé, ou a été cassé, rompu, la blessure est très profonde, parfois même irréparable. C’est cette tentative de réparation qu’entreprend la psychothérapie.

L’éducation, ou le principe de réalité 

Un enfant correctement éduqué est un enfant pour lequel les quatre premières années de sa vie ont servi à le conduire à son statut d’humain. N’oublions pas qu’un nouveau-né est un « être de pulsions », qui mord dans la vie, avec pour seul guide la satisfaction de ses besoins. L’éducation est donc là pour lui opposer le principe de réalité, pour lui montrer qu’il n’est pas seul au monde et qu’il doit tenir compte des autres. Les limites qui brident le plaisir du bébé le rassurent, en lui rappelant l’extrême sécurité des parois utérines. Acquiescer sans discernement à ses demandes développera sa toute-puissance infantile et entrainera des dysfonctionnements comportementaux tels que troubles du sommeil, hyper-agitation, anxiété… Plus tard, il croira pouvoir conserver son rapport aux autres dans la toute-puissance, ce qui compliquera fortement ses interactions.

Si ces bases éducatives n’ont pas été posées, alors à l’adolescence, c’est extrêmement difficile. Cela passe par le rappel des limites, tant dévoyées dans l’esprit de mai 68… Si, grâce à ces fameuses limites éducatives, l’enfant est capable de refouler ses pulsions, il sera alors capable d’efforts. Ultérieurement, devant les situations plus ou moins difficiles auxquelles il se trouvera confronté, il sera riche de l’accoutumance à l’effort acquise par l’éducation reçue pendant ses très jeunes années.

Quand on parle d’éducation, on doit parler aussi d’autorité. Indispensable et efficace, elle doit être une autorité tranquille, bienveillante, pas de l’autoritarisme (qui n’est rien d’autre que l’autorité des faibles). L’enfant doit se sentir intégré dans un système familial où existe – osons le mot tabou – une hiérarchie ! La relation parent-enfant doit être verticale, sinon, elle n’est pas sécurisante. Les parents veulent à tout prix se faire aimer de leurs enfants. Et pour cela, certains sont prêts à tout ! Or, quoi qu’ils fassent, ils seront aussi bien aimés qu’haïs ! L’enfant les aimera pour construire son identité, puis les haïra pour pouvoir prendre ses distances et s’autonomiser. La bonne nouvelle, c’est que c’est sain !

Là où le jeu devient un allié éducatif

Là où le jeu devient un allié éducatif

Nous avons souligné plus haut l’importance fondamentale du jeu pour l’enfant : une occupation et une préoccupation essentielles, l’équivalent de notre travail. Le jeu lui ouvre toutes les portes sur le monde, lui permet toutes les acquisitions cognitives indispensables à son développement, mais aussi relationnelles, émotionnelles, lui permettant son entrée en interaction avec son environnement. Encore faut-il pour cela que ses parents ne délèguent pas leur rôle à la fois affectif et éducatif à une « machine » ! Où l’on voit ainsi des enfants « gardés » toute la journée par un téléphone, une télévision ou un réfrigérateur ! Ces enfants ont alors les plus grandes difficultés à se décentrer d’eux-mêmes et à inhiber leurs pulsions.

Nous proposons ici que la fonction ludique puisse être aussi un allié précieux pour les parents : un relais éducatif indispensable, en particulier dans les cas de dysfonctionnements comportementaux. Pour cela, une méthode, facile à retenir et à mettre en place, et à « consommer sans modération ! » à tout âge : A. I. D. E. R. :

 
  • Apprécier de jouer avec l’enfant, s’amuser ouvertement, lui témoigner notre PLAISIR d’être avec lui.
  • Imiter, reproduire ce que l’enfant est en train de faire dans le jeu pour lui en montrer toute la valeur.
  • Décrire ce que l’enfant fait de positif, en insistant sur cette positivité.
  • Éloges, faire des compliments spécifiques et appuyés sur ce que l’enfant est en train de faire.
  • Répéter, paraphraser, commenter positivement, approuver ce que fait l’enfant.

À éviter absolument : les consignes trop directives, les critiques, les commentaires négatifs.

Pour le bon fonctionnement de la méthode, lors d’une thérapie familiale, mieux vaut l’inscrire sur de courtes séquences, surtout au début. Il est aussi recommandé d’ignorer volontairement les éventuels comportements problématiques de l’enfant pendant la séquence ludique, pourvu que ceux-ci n’incluent ni agressivité ni destruction. Si c’est malheureusement le cas, alors l’arrêt du jeu doit être immédiatement prononcé et acté. Un constat calme mais ferme de l’incident sera verbalisé, pour que l’enfant associe précisément son comportement à la suspension du jeu et qu’une prochaine séquence puisse être envisagée.

Comment le jeu façonne le cerveau 

Les résultats des recherches en psychologie les plus récentes montrent que jouer librement est d’une importance capitale pour le développement cognitif et social de l’enfant.

  • Capacités de coopération :

Le jeu stimule les capacités d’entraide. Les enfants qui ne jouent pas assez sont plus solitaires ou marginaux une fois adultes.

  • Langage :

Jouer, par exemple aux cubes, accélère non seulement l’acquisition du langage chez les tout-petits, mais leur permet également d’obtenir plus tard de meilleures notes en mathématiques, indépendamment de leur QI.

  • Résolution de problèmes :

Les enfants qui jouent beaucoup développent plus facilement une pensée originale. Les jeux de construction, d’assemblage, stimulent tout particulièrement cette capacité.

  • Maîtrise de soi :

À travers les jeux de « duel », les enfants apprennent à prendre conscience de leurs impulsions, de leurs émotions, et à mieux les maîtriser.

  • Compétences sociales :

Dans les jeux de rôles, les enfants apprennent à gérer les conflits ; ce qui représente à l’âge adulte une aide précieuse pour résoudre les problèmes sociaux. Par ailleurs, plus ils se chamaillent (sans excès), mieux ils résolvent plus tard les conflits humains sans recourir à la violence.

  • Palette d’expressions :

Quand ils jouent entre eux, les enfants utilisent un langage bien différent de celui qu’ils emploient face aux adultes.

  • Capacité d’attention, de concentration :

Les enfants sont plus attentifs en classe si auparavant ils ont pu jouer entre eux, sans instructions d’un adulte. Une séquence d’une quinzaine de minutes suffit à produire cet effet.

Quand l’imitation devient un principe éducatif 

Quand l’imitation devient un principe éducatif

Vous croyez qu’il faut toujours tout expliquer en détail à vos enfants pour qu’ils apprennent ? Erreur ! Les enfants apprennent en nous observant.

Aujourd’hui, quand les jeunes adultes deviennent parents, ils ont généralement une assez grande expérience de l’école, mais aucune de ce que c’est qu’élever un enfant. Ils pensent qu’il faut leur enseigner toujours plus de choses, en respectant le modèle éducatif qui prévaut à l’école. Or, les enfants apprennent bien davantage de l’observation de ceux qui s’occupent d’eux que d’actes pédagogiques proprement dits. En effet, toutes les études le montrent, les enfants apprennent en observant, puis en imitant les individus autour d’eux. Et ils apprennent en écoutant ce que les adultes disent du fonctionnement du monde.

 

L’apparente simplicité de l’imitation est trompeuse ; il s’agit bien au contraire d’une faculté intelligente : quand les bébés et les jeunes enfants imitent les autres, ils font bien plus que reproduire des actions de façon automatique. Car l’imitation permet aux enfants d’apprendre 2 choses : le fonctionnement des objets et le fonctionnement des gens, que la maturation de leur cerveau va leur permettre progressivement de modéliser. L’imitation des enfants, loin d’être une simple singerie, est subtile, complexe et bien conçue pour permettre l’apprentissage culturel. Ils combinent leur propre expérience avec l’observation d’autrui, pour créer une imitation efficace et utile à l’obtention du résultat escompté.

Les enfants seront plus enclins à imiter exactement les personnes qui leur ressemblent et surtout celles avec lesquelles ils ont un lien affectif. Ils ne reproduisent pas seulement ce que l’adulte fait, mais également son intention, grâce à leur extraordinaire faculté à capter l’expression non verbale.

Rappelons que, pour les enfants, observer et imiter leurs parents se comporter de façon compétente dans telle situation est déjà un principe éducatif en soi. En observant l’étendue des manières de faire, les enfants apprennent non seulement des autres, mais aussi sur les autres. Nul doute que cela les aide à décider peu à peu quel type de personne ils veulent devenir.

Parents, soyez vous-mêmes ! Car le premier principe éducatif est bien l’exemple, pas l’injonction…

Votre enfant et les écrans, ou comment ils massacrent son cerveau ! 

On a assez joué ! Quand les rapports de l'Éducation nationale montrent une baisse de 40 % des performances de lecture et de calcul, on ne peut plus se cacher et ignorer la vérité : la santé mentale fait très mauvais ménage avec les écrans (quels qu'ils soient) ! Notre cerveau a ses propres rythmes, ses propres besoins ancrés dans ses structures profondes : dormir, parler à des humains, apprendre au contact d'autrui, focaliser son attention sur des objets réels et sur du temps long.

Après une décennie d'exposition généralisée des enfants à tous types d'écrans, une grande majorité d'études scientifiques montrent des effets fortement négatifs sur le cerveau. : langage appauvri, problèmes d'attention, sommeil fragmenté, les atteintes à la cognition et au développement cérébral sont profondes et durables.

Quatre temps sans écrans pour quatre pas pour mieux avancer :

  • Pas le matin

Car les écrans fatiguent l'attention et empêchent la concentration, même à petite dose

  • Pas pendant les repas

Car votre enfant vous parle moins et vous lui parlez moins quand les écrans sont allumés, appauvrissant ainsi l'interaction avec lui, dont il a pourtant un besoin vital

  • Pas avant de se coucher

Car la lumière bleue des écrans continue à exciter et fatiguer inutilement les neurones deux heures après l'extinction de l'appareil, produisant un effet délétère sur le sommeil

  • Pas dans la chambre de l'enfant

Car il doit apprendre à s'occuper seul et à l'aide d'objets bien réels, pour favoriser pleinement son autonomisation psychique et le développement de sa créativité.

Quand la solitude ou l'ennui commence à lui peser, c'est de votre présence qu'il a besoin, d'une interaction vivante et sentimentale, pas d'une "nounou digitale" !

Les études nous le rappellent 

Entre 18 mois et 2 ans : 1h40 d'interaction en moins avec les parents entraînent :

  • 25% de production de langage en moins
  • 85% de sollicitations des parents en moins
  • + 250% de risque de consulter l'orthophoniste

Entre 12 et 15 ans : 2500 heures passées devant un écran par an (soit 6,5 – 7h par jour) correspondent à 3 années scolaires en équivalent de temps perdu et entraînent 23 minutes par jour d'interaction avec les parents en moins.

« Le système le plus puissant auquel un individu puisse appartenir est celui de sa famille » (Anne Ancelin Schützenberger)

« Guérir les blessures familiales et se retrouver soi » (Paris, Payot)

La psycho-généalogie 

Les empreintes de notre famille nous influencent tout au long de notre vie. Elles sont à la base de notre identité, de notre personnalité, de nos choix de vie, de nos comportements (sociaux, amoureux, professionnels… elles peuvent même être à l’origine d’évènements de vie douloureux (maladies, accidents, décès…).

Divers phénomènes tels que secrets de famille, dates anniversaires…, nous sont transmis par la filiation. Chacun de ces phénomènes est chargé symboliquement d’un rôle en rapport avec notre histoire familiale. Connaître son histoire familiale apparaît donc comme un moyen de mettre à jour les non-dits, percer les injonctions et les interdits transmis dans l’inconscient familial, comprendre le sens des accidents et des traumas répétés sur plusieurs générations, des difficultés relationnelles rencontrées de façon récurrente et ceci, pour pouvoir enfin s’en libérer. Cette libération permet de se réapproprier son histoire personnelle, de définir la place que l’on souhaite occuper dans la filiation, de reprendre le pouvoir sur sa vie et ses choix.

La constitution de son géno-sociogramme, par sa simple réalisation avec l’aide de Nathalie Queyrel, est déjà en soi thérapeutique. C’est un outil puissant faisant apparaître les évènements de vie importants (maladies, accidents, déménagements, décès prématurés…) et les liens relationnels (mariages, divorces, relations fusionnelles, abandons…). Durant sa construction, l’inconscient familial transgénérationnel est très actif, en permettant la mise en évidence de tout ce qui doit être libéré pour le mieux-être de tous.

Il devient alors possible de :

  • se libérer des comportements dont on se sent prisonnier et qui ne nous appartiennent pas
  • mettre à jour les secrets de famille, les loyautés inconscientes, les deuils non résolus
  • comprendre ses choix personnels et professionnels et déterminer s’ils correspondent vraiment à ce que l’on veut pour soi
  • donner du sens aux maladies psychiques et physiques
  • poser des actes réparateurs et libérateurs

Avec Nathalie Queyrel, offrez-vous ce voyage au pays des vôtres, qui a pour destination finale un être unique et magnifique : vous-même !

Accordez-vous le pouvoir de :

  • discerner votre rôle et votre place dans vos lignées
  • mettre en évidence comment vos décisions sont de fait impactées par votre histoire familiale
  • poser le choix de vous en affranchir

Le cabinet de Nathalie Queyrel est installé à Avignon. Vous pouvez retrouver les tarifs des psychothérapies et autres services en ligne. Découvrez les nombreux avis sur votre psychothérapeute.

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